L’Amour, l’Hypocrisie ou la Haine : Où Sommes-Nous dans la Révélation du Dernier Messager ?
Introduction
« L’amour, l’hypocrisie ou la haine… Où sommes-nous dans cette révélation du dernier messager ? »
Comment formuler le vrai Tawhid ? Comment comprendre le Coran ? Toute cette science ne concerne que les hommes, et toute cette science n’est proposée que pour les hommes. Où sont-ils, les hommes ?
C’est quoi une révolution s’il n’y a pas une notion forte, stable de la conscience spirituelle ? Alhamdoulillahi rabbil ‘alamin, wa salatu wa salamu ‘ala Habibillah Muhammad wa ‘ala Ali Muhammad.
Comment S’Approcher du Livre de Dieu ?
Comment pouvoir s’approcher de ce Livre ? Comment comprendre ce qu’Il nous propose de méditer pour nous transformer ? Pourquoi le Coran nous parle-t-il dans tous les temps ? Pourquoi a-t-il cette spécificité d’éveil des consciences et de vérité dans la spiritualité ? Pourquoi nous montre-t-il que nous sommes « fi ‘ilm akhir az-zaman » ?
Nous sommes et nous reconnaissons « ‘ilm akhir az-zaman » : c’est quand tout commence à se révéler, quand tout devient une conscience pour les croyants – une foi, une direction, un but. Le but que nous devons atteindre, c’est : comment lire le Coran et comment le comprendre ? Comment appréhender le Livre de Dieu ? Comment lire le Livre de Dieu ?
C’est une interrogation qui a fait germer, dans l’esprit de tous les chercheurs, de tous les savants, cette curiosité : comment Dieu nous parle ? Et quand Dieu nous parle, Il nous parle à travers les récits – les récits des prophètes, les récits des peuples des prophètes.
Pourquoi les Récits des Prophètes Nous Concernent ?
Mais pourquoi Dieu nous parle-t-il des récits des peuples des prophètes ? Pourquoi nous donne-t-Il différents récits ? Et pourquoi ces différents récits ne sont-ils qu’un seul et même récit ?
C’est parce qu’il y a une correspondance, un lien, une relation entre nous et ces récits. Bien sûr, nous pouvons les comprendre en tant que spectateurs – quelqu’un qui ouvre le Livre et lit l’histoire des récits. Premier niveau, mais il est subalterne par rapport à la réalité de la science et de la connaissance.
Deuxième niveau : nous faire participer à cette histoire et nous faire entrer dans cette histoire, non pas comme un spectateur, mais comme quelqu’un qui agit dans sa propre histoire avec cette histoire qui est le Coran. Dans cette histoire-là, est-ce que nous la regardons comme un observateur qui contemple tous les récits ? Ou bien devons-nous y participer ?
L’Imam Ali (que la paix soit sur lui) disait qu’il n’y avait aucun récit dans le Coran qu’il n’ait vécu. Il était si imprégné par ce récit qu’il entrait dans les récits des peuples, au point de sentir l’odeur du pain qu’on faisait cuire. Alors, c’est quoi plonger dans une histoire, un récit, pour en faire partie ? Pour être un observateur accompli et une action dans le présent que nous avons, dans cette histoire qui est notre propre histoire.
Question d’un Auditeur : Comment Faire Partie de Ces Récits ?
« Comment faire partie de ces récits ? Quel rôle devons-nous jouer en tant qu’acteurs de ces histoires ? »
Lorsque nous sommes spectateurs d’une histoire, pourquoi cette histoire est-elle comptée dans le Livre de Dieu ? Pourquoi ces histoires sont-elles dans le Livre de Dieu ? On nous montre un peuple ignorant, ou maudit pour certains, puisqu’ils ont été détruits. Et il nous raconte ces histoires… Comment pourrais-je les interpréter ?
D’une part, Dieu veut que nous soyons dans toutes ces histoires, et que toutes ces histoires soient une raison d’être dans cette histoire. Nous, observateurs, spectateurs, sommes appelés à prendre position.
Prenons le peuple de saliḥ (que la paix soit sur lui) : c’est l’histoire d’une chamelle. Il n’y a pas beaucoup d’eau, et il faut la partager avec tout le monde. saliḥ leur dit de donner à boire à la chamelle. Les autres, comprenant qu’ils ne peuvent pas partager l’eau, pensent : « Mieux vaut que nos enfants et nous buvions plutôt que cette chamelle. » Une réflexion qui paraît logique… Mais pourquoi ce qui est logique est-il répréhensible ?
Parce que c’est notre histoire. Nous la vivons tous les jours : nous établissons des priorités, et par ces priorités, nous jugeons que « la chamelle ne mérite pas de boire l’eau de mes enfants, ou de mes parents ». Alors on la tue, on se débarrasse d’un souci.
Mais ce qu’ils ont oublié, c’est que si Dieu leur dit « donnez », c’est-à-dire « soyez justes, partagez, aimez la justice pour les animaux comme pour vous », et que tout le monde doit avoir sa part, ils ont désobéi à un commandement. De cette désobéissance, ils ont oublié que c’est Dieu le Créateur et le Pourvoyeur, et ils ont perdu la foi que Dieu leur donnerait encore de l’eau.
Où sommes-nous par rapport à saliḥ et ses histoires ? Vous avez l’impression, quand vous lisez « C’est vous, saliḥ ? » Moi, je vous dis : « Non, non, non, vous n’avez rien à voir avec saliḥ. » Cette histoire, vous l’avez vécue, et vous êtes en train de la vivre. La position de saliḥ, c’est le Coran.
Comment Suivre le Coran Aujourd’hui ?
Comment suivre le Coran ? Nous avons deux solutions :
- Les prendre comme des récits, des exemples.
- Comprendre que le peuple de Pharaon, le peuple de Lout, le peuple de Noé (Noé), le peuple d’Abraham (Abraham)… ces histoires nous concernent.
Prenons un angle personnel : « Cette histoire du peuple de Lout, aujourd’hui, je n’en ferai jamais partie. » On peut penser que ces récits sont comme un avertissement : « Ne touche pas au feu, sinon tu te brûleras. » Si nous les vivons ainsi, ces histoires nous brûleront.
Mais non… Ces histoires sont en nous. Peu importe les cycles et les périodes, c’est comme si on nous invitait à être dans cette histoire, non pas comme observateurs, mais comme réparateurs, à jouer le rôle des prophètes bénis dans notre temps présent.
Dieu, lorsqu’Il nous raconte une histoire, c’est parce que cette histoire nous concerne. Quels que soient les cycles des temps passés, c’est comme si nous avions des doubles de nos personnalités dans ces récits. Il y a un double parmi nous qui nous ressemble, qui a vécu cette histoire. Et cette histoire devient pour lui une présence, un décret.
Ce n’est plus la même chose que de la lire autrement. Lire cette histoire, c’est parce que nous l’avons vécue. Par la parole – la parole est forte, elle construit. Par l’esprit – l’esprit est fort, car c’est un décret de Dieu.
Ces histoires dans le Coran… Pourrions-nous les comprendre de la véritable manière ? Parce qu’elles nous feront grandir.
L’Expérience d’Adam et Notre Présence Préexistante
Dieu dit dans le Coran, dans un verset qui a dû bousculer tous les chercheurs : « Lorsqu’Il fit sortir les enfants des reins d’Adam, Il les fit témoigner contre eux-mêmes : “Ne suis-Je pas votre Seigneur ?” Ils répondirent : “Si, nous en témoignons.” » [Coran 7:172]
Dieu nous dit : « Tu étais présent. Je t’ai fait sortir et Je t’ai parlé, et tu M’as répondu. » Comment ? À la préexistence, Dieu m’a déjà créé. Dans cette unité parfaite d’Adam, j’étais présent. J’ai été extrait de ses reins, et Dieu est venu me dire : « Ne suis-Je pas votre Maître ? » « Oui. » « Afin qu’au Jour de la Résurrection, vous ne puissiez nier ce Tawhid, cette unité parfaite de reconnaître qu’Il n’y a que Lui. »
C’est une histoire que j’ai vécue. Dieu dit : « Tu l’as vécue. » Comment m’en souvenir ? C’est par le Tawhid que je m’en souviendrai.
Dieu s’est révélé à nous, à notre Bien-Aimé, et Il lui a donné un Livre où Il n’a rien omis. Dès l’entrée, Il dit : « Ce Livre est pour ceux qui sont éveillés, ceux qui croient en la révélation et au rêve. » Il nous propose d’entrer dans la jeunesse de notre père Adam, dans tous les récits qui ont suivi Adam avec tous les prophètes et les peuples.
Cette révélation nous rend conscients d’être parmi les premiers, comme Adam, de vivre ce qu’Adam a vécu – l’expérience –, mais sans suivre Adam dans la chute qu’il a connue.
Premier récit : c’est un récit pour nous, pour avoir l’expérience d’Adam et ne pas tomber. Pourtant, certains d’entre nous tombent encore aujourd’hui dans leur propre vie, dans leur propre témoignage. Il y a une lacune dans l’obéissance.
Dieu nous interdit des choses : « N’y allez pas, ne faites pas ceci, n’écoutez pas cela, ne marchez pas là. » Les interdits que Dieu nous propose ne concernent pas seulement un arbre, mais le fruit de cet arbre – toutes les dimensions du parcours que nous aurons.
Si Adam n’avait pas touché à cet arbre, toutes les dimensions de la Charia ne nous auraient pas été imposées. Mais parce qu’il a touché à ce fruit, un monde entier de lois nous a été prescrit.
Aujourd’hui, ce fruit représente tout ce que Dieu nous interdit. C’est un récit propre à chacun d’entre nous : comprendre cet interdit pour nous. Ce sont tous les interdits dont nous devons nous éloigner, et toutes les recommandations que Dieu nous donne, car ces recommandations sont pour Son Khalifa, pour prendre la responsabilité.
Les Récits des Prophètes : Une Élévation de la Conscience
Toutes les histoires des prophètes sont des récits clairs. Chaque récit comporte une expérience – comme saliḥ, comme Job (Job), comme tous les prophètes. Ces histoires de refus de la justice ou de l’unicité nous montrent que ces expériences sont là pour nous élever à une dimension de conscience, et non pour une interprétation négociable.
Notre vie n’est pas une interprétation. Notre vie est une application du Livre.
Où sommes-nous dans tous ces récits ? Nous sommes le Livre. Nous sommes tous ces récits. Nous sommes le premier récit et le dernier récit, le sceau de la prophétie. Nous sommes l’approbation, « bi-Ibn Allah », de ce qui va se produire dans l’histoire de la fin des temps.
Nous avons commencé un temps avec tous les récits. Nous les avons additionnés pour être dans la conscience. Et nous avons amené à cette conscience l’histoire de ce qui nous entoure – un monde d’hypocrites, très peu de gens de valeur.
Ces gens de valeur, s’ils sont 313 à la fin des temps, autour du fils du Messager, du Messie (« Messie »), c’est pour clôturer le temps, le Tawhid et toutes les histoires.
Préparons-Nous à la Conscience du Tawhid
Préparons-nous à entrer dans la conscience du Tawhid. Si toutes les histoires ne sont qu’une seule histoire, si tous les récits ne sont qu’un seul récit, alors le parcours du dernier messager signifie qu’il y a quelque chose qui va se révéler pour clôturer le temps.
Le maître du temps – que nous appelons le Mahdi, le fils de Fatima – est le maître de son époque, aidé par l’Esprit, le Messie (« Ayedna bi-Ruhillah » – renforcé par l’Esprit de Dieu). Tout cela pour aboutir à ces récits, pour que nous en soyons les témoins.
Être témoin, c’est témoigner de la vérité du Messager, qui clôture tous les sceaux des prophètes. Ce témoignage est pour que nous ayons, si Dieu nous assiste, la dimension de ce qu’Il aime, de ce qu’Il veut.
Les enjeux sont avec le défi d’Iblis (Satan), mais les enjeux, nous ne les connaissons pas. Le temps d’Iblis sera clôturé. Quels seront les enjeux ? Quel sera le but ? Pourquoi ces récits ? Tout devient révélation.
Un croyant, lorsqu’il marche dans la voie de ce que Dieu veut, tout est sans voile, tout est apparent. C’est pour cela qu’en arabe, on dit « al-ma’rifa » : il devient « ‘arif ».
Un « ‘arif », par exemple, c’est celui qui a la science innée : quand il veut agir, il connaît le commencement de son action, ce qu’elle est, et ce qu’elle sera. Ces trois dimensions du temps, de toutes les histoires ramenées à notre époque, montrent que c’est la fin de l’histoire… et que c’est la fin de notre histoire.
Nous sommes les précurseurs, les maillons. Nous sommes les particules de cet univers de miséricorde. Par l’éclair de la vision que Dieu veut nous donner, Il veut nous donner une dimension que même les anges ne connaissent pas.
Pour y arriver, il faut faire le vrai Tawhid. Le vrai Tawhid, c’est que toutes les histoires ne sont qu’une seule histoire. Toutes les histoires, c’est mon histoire. L’histoire du Messager de Dieu – être avec Lui ou contre Lui – c’est notre histoire, et le monde des hypocrites.
Tout cela pour dire quoi ? Arriver à être un témoin qui a compris toutes les histoires, qui a compris l’histoire de son Messager, qui en témoigne, et qui devient :
- le fer trempé,
- le cœur solide,
- la barrière contre Gog et Magog (« Gog wa Magog »),
- le plus solide des hommes, pour être le résultat de tous ces récits.
Être le résultat de tous ces récits, c’est la vision du vrai Tawhid. Et cette vision, c’est le Coran.
Les Trois Niveaux de Lecture du Coran
Faire le Tawhid, c’est reconnaître qu’il n’y a de divinité que Dieu. Mais qui dit « reconnaître qu’il n’y a de divinité que Dieu » ? C’est moi. C’est encore un niveau subalterne.
Troisième niveau – et c’est là la lecture du Coran – :
- Premier niveau : le récit.
- Deuxième niveau : la participation.
- Troisième niveau : la Parole qui se révèle.
C’est Lui qui atteste de Son unicité. Nous ne sommes que ce que Dieu veut. Nous n’existons pas pour ce que nous pensons vouloir être. Quand on atteint ce niveau, c’est : « Nous existons parce qu’Il veut faire de nous ce qu’Il veut. »
Ce qu’Il veut faire de nous, c’est une intimité de recherche, de proximité, d’obéissance aux commandements, pour espérer, un jour – si Dieu le veut –, être dirigés vers le vrai Tawhid.
Le Tawhid Pur dans la Sourate Al-ikhlâs
Dans le vrai Tawhid, il y a une Sourate complète : Sourate Al-ikhlâs (Le Monothéisme pur). A’udhu billahi min ash-shaytan ir-rajim. Bismillahirrahmanirrahim. Qul huwa Allahu ahad. Allahu Samad. Lam yalid wa lam yulad. Wa lam yakun lahu kufuwan ahad. [Coran 112:1-4]
Mes frères et sœurs, jusqu’à récemment, tout le monde croyait que ce verset disait simplement « Dieu est Un » – c’est-à-dire Le réduire à un nombre. « Dieu est un » comme dans « un, deux, trois ». Mais Il a créé les nombres ! Il a dénombré chaque membre du corps, comme le dit le verset.
Dieu n’est pas « un » au sens numérique. Si nous effaçons cela de notre esprit, Dieu est Unique, Inabordable, rien ne Lui ressemble.
- « Allahu Samad » : Dieu est au-delà de tous les temps. Ce n’est pas le temps qui a fait de Lui un Dieu.
- « Lam yalid » : Personne ne L’a engendré. Il n’est pas le produit de quelque chose.
- « Wa lam yulad » : Il n’a pas engendré. Il n’a pas créé quelqu’un comme Lui.
- « Wa lam yakun lahu kufuwan ahad » : Rien ne Lui est semblable.
C’est ce Dieu qui nous appelle.
La révélation ne vient pas par notre réflexion ou notre imagination. Elle vient de Sa Parole, de Son Livre, des récits des récits, du récit de notre Bien-Aimé, des récits de « akhir az-zaman ».
Alors, qui suis-je ? Je suis le produit d’un temps. Dieu a voulu, au premier temps, faire d’Adam une autre dimension du temps. Puis Iblis est venu proposer un autre temps pour nous séduire.
Le produit de tous ces récits, le produit du temps de tous ces récits, c’est dans ces temps que se trouve notre personnalité – notre double, notre puzzle dans les temps et les récits, notre particularité.
Cette particule de notre être, dans tous ces récits, arrivée au sceau du Bien-Aimé de Dieu… Pour vivre une dimension : l’amour, l’hypocrisie ou la haine.
Où sommes-nous dans cette révélation du dernier messager ? Combien d’ennemis a-t-Il suscités ? Mais combien de vertueux compagnons, et une famille noble comme la sienne, ne sont que des récits pour nous ?
Voulons-nous être Ses enfants, Sa famille, Son produit, Son cercle ? La voie par laquelle nous devons Le suivre et marcher derrière Lui ? Aujourd’hui, marcher derrière Lui, c’est marcher devant vers « al-A’imma akhir az-zaman » (les Imams de la fin des temps).
Marcher vers eux dans les temps eschatologiques ne peut se révéler que dans :
- le Tawhid,
- la lecture,
- la persévérance à faire « al-Amr bi-l-ma’ruf wa-n-nahy ‘an al-Munkar » (ordonner le bien et interdire le mal).
Ce sont ces hommes et ces femmes qui, un jour – aujourd’hui, d’ici peu –, prendront le relais pour redonner la conscience spirituelle à toute l’humanité.
Ceux qui sont arrivés à la proximité pour que cette porte s’ouvre, que ce voile se déchire dans tous ces récits de la conscience… Nous sommes le produit de Dieu :
- voulu par Lui,
- destiné par Lui,
- devant revenir vers Lui.
Ce produit mérite :
- du courage pour affronter ses ennemis,
- de la fermeté pour ne pas écouter les hypocrites, les ennemis de Dieu,
- de ne pas penser que la « liberté d’expression » doit donner lieu à des caricatures, à des divisions, à faire des hommes des ennemis.
Toute cette science ne concerne que les hommes. Toute cette science n’est proposée que pour les hommes. Où sont-ils, les hommes ?
C’est quoi une révolution s’il n’y a pas une notion forte, stable, de la conscience spirituelle – le moteur et le sens de notre vie ?
Cette particularité, le Maghrib et le monde entier doivent l’entendre. Nous ne réussirons qu’avec le câble de Dieu tendu vers des hommes et des femmes pour être les témoins et partager ce message avec tout l’univers.
Nous sommes ceux qui marchent et marcheront sur les traces de notre Bien-Aimé.
- Nous aurons des ennemis,
- nous aurons des amis,
- nous aurons des criminels à affronter,
- mais nous aurons aussi, par Dieu, une sécurité et une force de stabilité pour marcher dans ce chemin jusqu’à Sa rencontre.
Conclusion
Les récits coraniques ne sont pas de lointaines histoires, mais une seule histoire qui nous concerne tous, nous invitant à participer activement pour atteindre le vrai Tawhid dans cette fin des temps. Nous sommes appelés à être témoins, réparateurs, dans l’amour ou contre l’hypocrisie, guidés par le Livre pour clôturer le temps avec le Mahdi et le Messie. « Que Dieu nous assiste pour ne rien Lui associer dans notre adoration, car vers Lui est notre destin. »






