À propos de la sourate La sincérité
Numéro
112
Nom arabe
الإخلاص
Versets
4
Révélation
Médinoise
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15
قُلْ هُوَ ٱللَّهُ أَحَدٌ
qul huwa l-lahu aḥadun
Muhammad Hamidullah
Dis: «Il est Allah, Unique.
Rachid Maach
Dis : « Allah est la seule et unique divinité.
Centre International Nur
Dis : « Il est Allah, l’Un.
Analyse mot-à-mot
qul
dis
Autres traductions possibles :
huwa
il
Autres traductions possibles :
l-lahu
Allah
Analyse linguistique :
Dieu
Autres traductions possibles :
aḥadun
un
Autres traductions possibles :

Ce verset est cité pour rappeler, au cœur de la méditation sur Laylat Al-Qadr et la descente de l’Esprit, l’essence même de Celui vers qui toute cette pédagogie nous ramène : ici, au moment où l’on s’interroge sur la manière dont Dieu se manifeste alors qu’Il est hors du temps, la parole « Qul huwa Allâhu ahad » est évoquée pour recentrer le regard sur l’Unicité et la transcendance divine, et pour ouvrir le passage vers « Allâhu Samad » qui suit dans le texte ; il est cité parce que le mois béni nous invite à accepter que la rencontre se fait non par nos catégories humaines mais par l’Esprit (Rûh) et la révélation, et il joue un rôle spirituel majeur en posant la condition intérieure de l’accueil : abandonner nos choix, nous vêtir de Tawhid, nous tenir dans la pureté du cœur afin que la paix de Laylat Al-Qadr, descendue par les anges avec l’Esprit, puisse nous transformer et nous ramener à notre origine.

Ce verset est cité pour ancrer, au cœur du développement sur « Le Mystère de l’Esprit », l’idée simple et lumineuse que Dieu est unique et hors de nos catégories temporelles : ici, dans ce passage qui médite la descente de l’Esprit (al-Rûh) pendant Laylat Al-Qadr, la parole « Dis : "Il est Allah, Unique" » est évoquée pour rappeler que l’origine de toute descente ne peut venir que d’un Principe qui transcende le temps d’Iblis et le temps humain, al-Samad, Celui qui est au‑dessus de tout. Mes frères et mes sœurs, ce verset sert de fondement théologique à l’argumentation : il dit pourquoi l’Esprit peut être voie de rencontre sans jamais réduire Allah à nos catégories, et il donne au croyant la paix intérieure pour accueillir la révélation nocturne comme une visite de l’Unique, promesse d’un retour à la nature originelle et d’une restauration de la destinée.

Ce verset est cité pour poser la base même de l'appel au jeûne intérieur : dans le passage, la formule « Qul huwa Allahu Ahad » (Sourate 112, Al-Ikhlâs, v.1) est évoquée au cœur de la section sur l'attente de Ramadan où Dieu est présenté comme unique et hors du temps, l'hôte que l'on reçoit, et sert de boussole contre toute idolâtrie; il est invoqué pour rappeler que l'adoration doit être pure, sans partage, et que ce mois vient comme un vêtement qui renouvelle l'Unicité dans nos cœurs. Placé après l'examen de la ferveur des croyants et avant l'appel à dépouiller les idoles intérieures, ce verset soutient spirituellement l'argument : purifier, se vêtir de lumière, retrouver la parole et la hauteur d'Adam. Il oriente la pratique vers la sincérité et la neutralisation de l'ego, fondement même de la première décade.

Ce verset est cité pour ramener le lecteur au cœur même du Tawhid, dans un moment où l’article désigne la lecture du Coran comme passage de l’histoire vécue à la reconnaissance intime de l’Unité divine ; il apparaît dans la section « Le Tawhid Pur » comme une porte simple et tranchante — « Qul huwa Allahu ahad » — pour corriger l’idée réductrice que Dieu serait un nombre et pour replacer la foi dans une Présence incommensurable. Il est invoqué parce que l’auteur veut recentrer la révolution intérieure sur une proclamation qui n’admet ni comparaison ni filiation, afin que la conscience se détache des logiques humaines de calcul et s’ouvre à la réalité d’un seul Dieu, incomparable et total, fondement de toute action. Spirituellement, ce verset joue le rôle d’ancre : il condense la direction vers laquelle les récits doivent nous conduire, l’éveil qui transforme le spectateur en témoin engagé, prêt à vivre le vrai Tawhid.

Ce verset est cité pour poser la pierre angulaire de toute la réflexion: au début de l'analyse, « qul huwa allahu Ahad » est invité comme boussole pour comprendre le sens du changement et du Tawhid. Il surgit dans le contexte de l'ouverture, placé au cœur d'une lecture qui relie la Sourate Al-ikhlâs aux Gens de la fin des temps et au cheminement intérieur; on l'invoque pour rappeler que l'unicité divine n'est pas un simple concept numéral mais une réalité qui libère et qui exige transformation continue. Il est cité parce qu'il ancre l'appel à l'effacement, protège contre toute identification illusoire et légitime la révolution quotidienne de la foi: en affirmant «Ahad», il soutient la nécessité de changer sans jamais confondre la créature et son Créateur, et il oriente la pratique spirituelle vers l'ikhlâs, cette pureté qui transforme la vie en mouvement.

Ce verset est cité pour ancrer, après Laylat Al-Qadr et le récit d’Adam, la porte par laquelle l’homme retrouve sa nature première : ici, au moment où l’orateur parle du retour à la station originelle, de la Tawba et du Tawhid primordial, il invoque "Qullou Allâhu Ahad" comme la formule vivante qui remet l’être dans sa vérité; il est cité parce que cette parole simple et répétée est le remède contre l’orgueil de la connaissance pour soi, le signe de l’ikhlâs qui fait que Dieu puisse attester à travers son Khalifa, et parce que c’est par ce "qul" que l’homme cesse de chercher Dieu à l’extérieur pour redevenir celui qui vit la présence naturelle de Dieu. Spirituellement, le verset joue le rôle de clef : pratiquer et vivre "Qullou Allâhu Ahad" remet le cœur en orbite, permet à Dieu d’attester et d’agir par l’homme, et prépare l’émergence finale de la mission du Khalifa.

Ce verset est cité pour ancrer dès l'ouverture la question fondamentale de la voie de la lumière et orienter la lecture vers l'Unicité profonde révélée par la Sourate Al-ikhlâs; il apparaît dans le passage où l'on rappelle que Dieu est unique, Samad, hors du temps, non engendré et sans ressemblance, et sert de point de départ à l'interrogation sur qui nous sommes au-delà du corps. Il est invoqué parce qu'il oblige à quitter une vision purement intelligible et à chercher la fitra, cette vie intérieure insufflée — la nefsoul mutma'innah — qui permet d'adorer Allâhu comme Il doit l'être; ce verset joue le rôle spirituel d'un miroir et d'une boussole: il révèle la destination (le Tawhid authentique), déclenche la purification des idoles intérieures et invite à transformer une croyance abstraite en expérience vivante, sensible au cœur et à l'amour, particulièrement au mois de Ramadan.

Ce verset est cité pour ancrer, au cœur de la réflexion sur le pèlerinage, la pureté du message que l’orateur veut transmettre : dans le passage où il parle des al-mukhlassîn et du cheminement vers le plus haut niveau du Tawhid, la Sourate 112, Al-Ikhlâs, verset 1, « Qul huwa Allahu Ahad », est évoquée comme une lumière intérieure destinée à ceux qui cherchent la sincérité du cœur, rappelant que le pèlerinage n’est pas une succession de gestes vides mais une montée vers l’unicité divine; il est cité pour inviter le pèlerin à purifier son intention, rompre avec toute idolâtrie subtile et laisser le ṭawâf, le sa'i et l’arrêt d’‘Arafât devenir des actes de Ta’wîl intérieure; spirituellement, ce verset joue le rôle de boussole théologique et mystique qui oriente l’âme du rituel vers la connaissance intime d’Allahu, ultime finalité des cycles évoqués.

Ce verset est cité pour poser, dans le cœur du propos, la clarté du tawḥīd et montrer le chemin de l'ikhlâs : on le retrouve au moment où l'article parle des mukhlisîn et de cette adoration qui protège, cité comme la formule simple et fondamentale — « قل هو الله أحد » — qui définit qui est Dieu en niant d'abord tout ce qui Lui ressemble, pour ensuite affirmer Son unicité. Dans le texte, il sert de repère, de petit phare à la fin du Coran rappelé aux croyants pour qu'ils apprennent la méthode de la négation puis de l'affirmation, la même méthode que le Hadith et la profession de foi « La ilaha illa Allah » enseignent ; il soutient spirituellement l'argument selon lequel l'ikhlâs pur conduit à entrer dans la forteresse divine et, pratiqué sincèrement, rend inaccessible la ruse d'Iblis, en recentrant la vie entière sur Dieu seul.

« Ce verset est cité pour… » ancrer la proclamation la plus simple et la plus essentielle du Tawhid là où l'auteur rappelle que l'unicité de Dieu ne se réduit pas à une théorie mais se reçoit au cœur; dans la section consacrée au Tawhid, après avoir souligné la primauté de la ma‘rifa et la nécessité de la purification, la parole « Qul huwa Allâhu Ahad » est posée comme le point d'appui qui réoriente tout discours savant vers la vérité première, contre les spéculations qui détournent. Il est présenté pour couper court aux discussions abstraites et pour inviter à la sincérité, la patience et l'expérience intérieure : sa fonction spirituelle est de servir de boussole, de raccourci lumineux qui légitime que seul le cœur purifié puisse habiter et témoigner de cette Unicité, transformant la doctrine en relation vécue plutôt qu'en simple savoir conceptuel.

Ce verset est cité pour… poser la base même de la méditation sur le ta'wîl : dans le contexte de la leçon il sert d'ancrage, rappelant « Qul Huwa Allahu 'Ahad » au milieu d'une réflexion sur le Koun Fayakoun et la différence entre l'instant divin et le temps humain. Il est évoqué après la mise en lumière de « Allahu Samad » et « Lam Yalid Wa Lam Yûlad », pour souligner que l'Unicité n'est pas une abstraction mais la clé qui fait disparaître l'intervalle entre le « Sois » et l'« est ». Il est cité afin de conduire à une ascension intérieure, invitant le croyant des fins des temps à sortir de l'évolution visible pour contempler la finalité déjà présente en toute apparition. Son rôle spirituel est donc de recentrer le regard : en proclamant l'Un, il autorise le regard à lire chaque devenir comme l'accomplissement immédiat de la Volonté divine.
Articles citant ce verset (14)

Ce verset est cité pour ancrer, au cœur du développement sur le Ta'wîl, la vérité simple et profonde que l'auteur médite : dans la section « Dieu Hors du Temps », la Sourate Al-Ikhlâs (Le Culte pur), Sourate 112, verset 1 — « Qul huwa Allâhu ahad » — est invoquée pour poser l'unicité radicale d'Allâhu face au temps humain; il intervient juste après la réflexion sur le « Sois » et le « Est » et précède l'explication de Allâhu Samad et de l'absence d'engendrement, afin d'insister sur le fait que le décret divin existe hors de toute succession temporelle. Il est cité parce qu'il délivre le socle théologique qui rend possible le Ta'wîl : si Dieu est Unique et hors du temps, la finalité des événements est déjà présente et le Ta'wîl révèle cette réalisation inévitable. Spirituellement, ce verset sert de boussole intérieure, change le regard du croyant et oriente son langage intime vers la demande d'être transformé par cette vision.

Ce verset est cité pour rappeler, avec une simplicité lumineuse, la clé et la destination de toute quête spirituelle à la fin des temps : au moment où le texte évoque la descente de la Sourate Al-ikhlâs « Qul huwa Allahu ahad » pour ceux qui approfondiront, il le place au cœur du Ta'wîl et du retour à l'origine. Dans ce passage précis, la citation intervient comme preuve et boussole, destinée aux chercheurs enracinés dans la science afin qu'ils reconnaissent le Tawhid le plus haut où l'homme n'est plus sujet autonome mais réceptacle et instrument de l'action divine; elle justifie la promesse que la parole sincère et la science intérieure peuvent métamorphoser le monde. Ce verset joue le rôle d'un sceau spirituel qui condense l'appel à l'unité absolue, oriente la patience face à l'oppression et légitime la mission humaine de devenir Khalifa en répercutant la lumière reçue.

Ce verset est cité pour ouvrir le creuset du Tawhid pur, là où le moi se dissout et ne reste que la Présence; dans le texte il surgit au moment où l'auteur explique les trois étapes de l'ascension spirituelle et appelle à dépasser l'islam de façade pour devenir l'œuvre de Dieu, et il est posé comme le socle ultime vers lequel doivent tendre ceux qui aspirent à l'inspiration totale. En évoquant la Sourate Al-ikhlâs, « Qul huwa Allah Ahad. », le discours nomme la destination : l'Unicité intérieure qui efface la séparation entre l'acteur et l'Acté, transformant le je en lui, le nous en lui, pour que l'œuvre devienne pure manifestation divine. La citation sert ainsi d'étendard théologique et spirituel, elle légitime la démarche proposée — abandon du seul raisonnement, montée vers l'inspiration — et oriente la pratique vers une présence qui n'est plus instrumentale mais identitaire, être le livre vivant.
