À propos de la sourate Les prophètes
Numéro
21
Nom arabe
الأنبياء
Versets
112
Révélation
Médinoise
Articles liés
24
وَمَآ أَرْسَلْنَـٰكَ إِلَّا رَحْمَةً لِّلْعَـٰلَمِينَ
wamā arsalnāka illā raḥmatan lil'ʿālamīna
Muhammad Hamidullah
Et Nous ne t'avons envoyé qu'en miséricorde pour l'univers.
Rachid Maach
Nous ne t’avons suscité que par miséricorde pour l’humanité.
Centre International Nur
Nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’Univers.
Analyse mot-à-mot
wamā
et ce que
Analyse linguistique :
et
Autres traductions possibles :
arsalnāka
t'avons envoyé
Analyse linguistique :
nous avons envoyé
Autres traductions possibles :
illā
sauf
Autres traductions possibles :
raḥmatan
miséricorde
Autres traductions possibles :
lil'ʿālamīna
لِّلْعَـٰلَمِينَ
Analyse linguistique :
mondes
Autres traductions possibles :

Ce verset est cité pour poser le dernier des messagers comme la clé vivante de la pédagogie du mois béni, un signe de miséricorde qui couronne les trois décades et donne sens à la trajectoire humaine décrite ici. Dans le texte, il surgit au moment où l’on passe du façonnage d’Adam et de l’insufflation de l’Esprit à la destination ultime : le statut de Khalifa parachevé, incarné par un Prophète dont la présence explique pourquoi la création a un commencement et une fin orientés vers la miséricorde. Il est ainsi invoqué pour légitimer la lecture eschatologique et spirituelle du mois — comme l’annonce et l’achèvement d’un dessein d’amour —, pour montrer que ce verset offre un horizon de sens, un modèle à imiter et une promesse d’avènement (Jésus et al-Mahdi compris), afin que le cœur accueille la transformation que ce mois opère, inch’Allah.

Ce verset est cité pour rappeler que le message que nous portons n’est pas une fermeture mais une ouverture infinie, et il apparaît ici au cœur de la section « La Foi du Cœur et l'Ouverture Universelle », quand l’auteur invite à semer la parole auprès de tous, musulmans, chrétiens, juifs et chercheurs de sens ; il est évoqué pour appuyer l’idée que la mission spirituelle émane d’une miséricorde universelle — rahma lil alamin — et pour contrebalancer la tentation communautaire qui enferme la foi dans des frontières humaines, invitant plutôt à la clémence et au partage. Spirituellement, ce verset fait office de boussole : il légitime la démarche de semer paix, amour et parole durant la seconde décade, il inspire les responsables à être miséricordieux comme les prophètes, et il transforme l’engagement personnel en acte d’ouverture où chaque semence donnée participe à l’édification d’un cœur mondial, serein et tourné vers Dieu.

Ce verset est cité pour rappeler, au cœur de ce discours sur l'unité et la miséricorde, que le Messager de Dieu est avant tout le Messager de la miséricorde (Sourate 21, Les Prophètes, verset 107), et il intervient ici précisément quand l'orateur évoque Cha‘bân, le modèle du peuple de Gaza et l'appel à la solidarité envers la Syrie; il sert à souligner que la figure prophétique transcende toutes les obédiences et rassemble autour de l'unicité de Dieu. Il est cité parce que son énoncé nourrit la fierté collective et donne sens à l'appel à défendre son frère quelle que soit son école, et parce qu'il invite à imiter une pratique de foi tournée vers la justice et la compassion. Spirituellement, il joue le rôle d'ancre théologique: il légitime l'union comme chemin de miséricorde, convertit la différence en œuvre commune et fortifie la volonté de résister à la division au nom du message de miséricorde.

Ce verset est cité pour ancrer avec douceur et force l’idée que le Prophète est la rahma lil'alamin, la miséricorde universelle, et il apparaît précisément au moment où l’orateur explique que le messager n’est pas seulement lumière mais sauveur et unité vivante pour tous les mondes ; il est invoqué pour légitimer l’affirmation que sa mission vise l’unité, le Tawhid le plus pur et le salut collectif, et pour transformer notre compréhension de la miséricorde en puissance, courage et force agissante. Ici le verset sert de point d’appui spirituel pour inviter à l’attachement à la lumière du messager, aimer les proches, et reconnaître le messager comme porte ouverte vers l’eschatologie et la finalité du message ; il devient, dans le discours, non une citation froide mais un souffle qui relie la célébration, la responsabilité communautaire et l’espérance d’un aboutissement où la miséricorde sauve et unifie.

Ce verset est cité pour rappeler, au cœur de la réflexion sur le dépôt, que la mission prophétique est avant tout Miséricorde : Sourate 21, Les Prophètes, verset 107, « Et nous ne t'avons envoyé que comme une miséricorde pour tout, pour tous les mondes » revient comme une clef. Dans le texte il surgit au moment où l'auteur relie commencement et fin, exposant que la pliure du temps et la venue des Salihîn ne sont pas des curiosités historiques mais la manifestation vivante d'une miséricorde qui décharge l'âme du fardeau du dépôt; ce verset est invoqué pour légitimer le rôle du saliḥ qui guide, protège, et rend possible l'héritage de la terre. Spirituellement, il confère à l'initiation des Salihîn une épaisseur divine: suivre ce guide est présentée comme la voie par laquelle la miséricorde divine opère le retrait du dépôt et garantit la réintégration dans le Tawhid.
Articles citant ce verset (8)

Ce verset est cité pour… rappeler, au cœur de ces vœux, que le Messager est « une miséricorde pour les mondes », et il surgit précisément quand l'auteur parle de produire la vie, de donner sans intérêt et de résister aux ruses d'Iblis et du métaverse; il est convoqué pour offrir un modèle vivant d'amour universel, non réservé à une communauté mais étendu à toute l'humanité, légitimant ainsi le choix d'offrir la fraternité, la santé et la paix à tous. Dans le texte il fonctionne comme fondement spirituel: il relie l'éthique du don et de la générosité à une vocation transcendante, poussant chacun à devenir producteur de vie, à exercer la Taqwa et à préférer l'enseignement de la nature à l'illusion des réseaux. Ce verset éclaire la finalité du discours, orientant l'action vers l'unité salvatrice et la miséricorde active.

Ce verset est cité pour ramener notre regard au cœur même de la parole: ici, dans la section « La Miséricorde pour les Mondes », il surgit pour affirmer que le messager est rahma Lil Alamin, la miséricorde promise à toute l’humanité, demandée par les humbles de la caverne et espérée par les prophètes. Il est invoqué afin de soutenir l’idée que suivre le messager ne se réduit pas aux rites, mais nous engage à porter sa lumière, à chercher sa présence comme secours et intercession — Ya rasûl Allah — face aux épreuves et aux injustices. Son rôle spirituel est d’ancrer notre responsabilité collective: la miséricorde du messager devient la source de patience, d’endurance et d’action pour aider les opprimés; elle nous console de nos fautes tout en nous poussant à être témoins, à vivre la grandeur humaine décrite dans le texte, et à transmettre cette rahma, de la descente jusqu’à la fin.

Ce verset est cité pour rappeler, au cœur de la célébration et de l'appel à l'unité, que le Messager est d'abord et avant tout une miséricorde pour les mondes, une vocation qui dépasse les appartenances humaines et les querelles d'interprétation. Inséré dans le passage qui exhorte la Oumma à abandonner ses constructions et à s'ouvrir au Message originel, il sert de socle spirituel : il légitime la présence vivante et universelle du Prophète, invite les cœurs à se rassembler non autour d'un parti mais autour d'une compassion partagée, et transforme l'urgence eschatologique en une responsabilité morale pour la justice. Par ce verset, l'orateur réoriente le débat vers la douceur du Dhikr et le soin du monde; il rend explicite que l'unité n'est pas simple stratégie politique mais un mouvement de miséricorde qui guérit les divisions et appelle à l'action collective.
