PROTECTION CONTRE LE DAJJAL / FAUX-MESSIE

11 octobre 2025
Par Seyyed Fouzi
Exégèse Coranique
Spiritualité Islamique
Eschatologie Islamique
Sourate Caverne
Tawhid
Gog et Magog
Dhûl-Qarnayn
Dajjâl

Versets Cités (11)

فَٱنطَلَقَا حَتَّىٰٓ إِذَآ أَتَيَآ أَهْلَ قَرْيَةٍ ٱسْتَطْعَمَآ أَهْلَهَا فَأَبَوْا۟ أَن يُضَيِّفُوهُمَا فَوَجَدَا فِيهَا جِدَارًا يُرِيدُ أَن يَنقَضَّ فَأَقَامَهُۥ ۖ قَالَ لَوْ شِئْتَ لَتَّخَذْتَ عَلَيْهِ أَجْرًا

fa-inṭalaqā ḥattā idhā atayā ahla qaryatin is'taṭʿamā ahlahā fa-abaw an yuḍayyifūhumā fawajadā fīhā jidāran yurīdu an yanqaḍḍa fa-aqāmahu qāla law shi'ta lattakhadhta ʿalayhi ajran

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Ils partirent donc tous deux; et quand ils furent arrivés à un village habité, ils demandèrent à manger à ses habitants; mais ceux-ci refusèrent de leur donner l'hospitalité. Ensuite, ils y trouvèrent un mur sur le point de s'écrouler. L'homme le redressa. Alors [Moïse] lui dit: «Si tu voulais, tu aurais bien pu réclamer pour cela un salaire».

وَإِذْ قَالَ مُوسَىٰ لِفَتَىٰهُ لَآ أَبْرَحُ حَتَّىٰٓ أَبْلُغَ مَجْمَعَ ٱلْبَحْرَيْنِ أَوْ أَمْضِىَ حُقُبًا

wa-idh qāla mūsā lifatāhu lā abraḥu ḥattā ablugha majmaʿa l-baḥrayni aw amḍiya ḥuquban

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

(Rappelle-toi) quand Moïse dit à son valet: «Je n'arrêterai pas avant d'avoir atteint le confluent des deux mers, dussé-je marcher de longues années».

فَٱنطَلَقَا حَتَّىٰٓ إِذَا رَكِبَا فِى ٱلسَّفِينَةِ خَرَقَهَا ۖ قَالَ أَخَرَقْتَهَا لِتُغْرِقَ أَهْلَهَا لَقَدْ جِئْتَ شَيْـًٔا إِمْرًا

fa-inṭalaqā ḥattā idhā rakibā fī l-safīnati kharaqahā qāla akharaqtahā litugh'riqa ahlahā laqad ji'ta shayan im'ran

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Alors les deux partirent. Et après qu'ils furent montés sur un bateau, l'homme y fit une brèche. [Moïse] lui dit: «Est-ce pour noyer ses occupants que tu l'as ébréché? Tu as commis, certes, une chose monstrueuse!»

قَالَ أَلَمْ أَقُلْ إِنَّكَ لَن تَسْتَطِيعَ مَعِىَ صَبْرًا

qāla alam aqul innaka lan tastaṭīʿa maʿiya ṣabran

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

[L'autre] répondit: «N'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie?»

فَٱنطَلَقَا حَتَّىٰٓ إِذَا لَقِيَا غُلَـٰمًا فَقَتَلَهُۥ قَالَ أَقَتَلْتَ نَفْسًا زَكِيَّةًۢ بِغَيْرِ نَفْسٍ لَّقَدْ جِئْتَ شَيْـًٔا نُّكْرًا

fa-inṭalaqā ḥattā idhā laqiyā ghulāman faqatalahu qāla aqatalta nafsan zakiyyatan bighayri nafsin laqad ji'ta shayan nuk'ran

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Puis ils partirent tous deux; et quand ils eurent rencontré un enfant, [l'homme] le tua. Alors [Moïse] lui dit: «As-tu tué un être innocent, qui n'a tué personne? Tu as commis certes, une chose affreuse!»

۞ قَالَ أَلَمْ أَقُل لَّكَ إِنَّكَ لَن تَسْتَطِيعَ مَعِىَ صَبْرًا

qāla alam aqul laka innaka lan tastaṭīʿa maʿiya ṣabran

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

[L'autre] lui dit: «Ne t'ai je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie?»

أَمَّا ٱلسَّفِينَةُ فَكَانَتْ لِمَسَـٰكِينَ يَعْمَلُونَ فِى ٱلْبَحْرِ فَأَرَدتُّ أَنْ أَعِيبَهَا وَكَانَ وَرَآءَهُم مَّلِكٌ يَأْخُذُ كُلَّ سَفِينَةٍ غَصْبًا

ammā l-safīnatu fakānat limasākīna yaʿmalūna fī l-baḥri fa-aradttu an aʿībahā wakāna warāahum malikun yakhudhu kulla safīnatin ghaṣban

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Pour ce qui est du bateau, il appartenait à des pauvres gens qui travaillaient en mer. Je voulais donc le rendre défectueux, car il y avait derrière eux un roi qui saisissait de force tout bateau.

وَأَمَّا ٱلْغُلَـٰمُ فَكَانَ أَبَوَاهُ مُؤْمِنَيْنِ فَخَشِينَآ أَن يُرْهِقَهُمَا طُغْيَـٰنًا وَكُفْرًا

wa-ammā l-ghulāmu fakāna abawāhu mu'minayni fakhashīnā an yur'hiqahumā ṭugh'yānan wakuf'ran

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants; nous avons craint qu'il ne leur imposât la rébellion et la mécréance.

وَأَمَّا ٱلْجِدَارُ فَكَانَ لِغُلَـٰمَيْنِ يَتِيمَيْنِ فِى ٱلْمَدِينَةِ وَكَانَ تَحْتَهُۥ كَنزٌ لَّهُمَا وَكَانَ أَبُوهُمَا صَـٰلِحًا فَأَرَادَ رَبُّكَ أَن يَبْلُغَآ أَشُدَّهُمَا وَيَسْتَخْرِجَا كَنزَهُمَا رَحْمَةً مِّن رَّبِّكَ ۚ وَمَا فَعَلْتُهُۥ عَنْ أَمْرِى ۚ ذَٰلِكَ تَأْوِيلُ مَا لَمْ تَسْطِع عَّلَيْهِ صَبْرًا

wa-ammā l-jidāru fakāna lighulāmayni yatīmayni fī l-madīnati wakāna taḥtahu kanzun lahumā wakāna abūhumā ṣāliḥan fa-arāda rabbuka an yablughā ashuddahumā wayastakhrijā kanzahumā raḥmatan min rabbika wamā faʿaltuhu ʿan amrī dhālika tawīlu mā lam tasṭiʿ ʿalayhi ṣabran

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Et quant au mur, il appartenait à deux garçons orphelins de la ville, et il y avait dessous un trésor à eux; et leur père était un homme vertueux. Ton Seigneur a donc voulu que tous deux atteignent leur maturité et qu'ils extraient, [eux-mêmes] leur trésor, par une miséricorde de ton Seigneur. Je ne l'ai d'ailleurs pas fait de mon propre chef. Voilà l'interprétation de ce que tu n'as pas pu endurer avec patience».

حَتَّىٰٓ إِذَا بَلَغَ مَغْرِبَ ٱلشَّمْسِ وَجَدَهَا تَغْرُبُ فِى عَيْنٍ حَمِئَةٍ وَوَجَدَ عِندَهَا قَوْمًا ۗ قُلْنَا يَـٰذَا ٱلْقَرْنَيْنِ إِمَّآ أَن تُعَذِّبَ وَإِمَّآ أَن تَتَّخِذَ فِيهِمْ حُسْنًا

ḥattā idhā balagha maghriba l-shamsi wajadahā taghrubu fī ʿaynin ḥami-atin wawajada ʿindahā qawman qul'nā yādhā l-qarnayni immā an tuʿadhiba wa-immā an tattakhidha fīhim ḥus'nan

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Et quand il eut atteint le Couchant, il trouva que le soleil se couchait dans une source boueuse, et, auprès d'elle il trouva une peuplade [impie]. Nous dîmes: «O Dûl-Qarnayn! ou tu les châties, ou tu uses de bienveillance à leur égard».

قَالُوا۟ يَـٰذَا ٱلْقَرْنَيْنِ إِنَّ يَأْجُوجَ وَمَأْجُوجَ مُفْسِدُونَ فِى ٱلْأَرْضِ فَهَلْ نَجْعَلُ لَكَ خَرْجًا عَلَىٰٓ أَن تَجْعَلَ بَيْنَنَا وَبَيْنَهُمْ سَدًّا

qālū yādhā l-qarnayni inna yajūja wamajūja muf'sidūna fī l-arḍi fahal najʿalu laka kharjan ʿalā an tajʿala baynanā wabaynahum saddan

Traduction :
Muhammad Hamidullah
Rachid Maach
Centre International Nur

Ils dirent: «O Dûl-Qarnayn, les Yâ jûj et les Mâ jûj commettent du désordre sur terre. Est-ce que nous pourrons t'accorder un tribut pour construire une barrière entre eux et nous?»

La Sourate Al-Kahf : Clés de Protection dans les Temps Eschatologiques

Introduction

« Le Messager — ‘alayhi Salât wa-salam — a dit que réciter cette Sourate ou une partie de cette Sourate nous préservera de l’événement de Gog et Magog (Gog et Magog) et du Dajjâl (l’Antéchrist). »

Cette interrogation nous pousse à explorer ce qui, dans la Sourate Al-Kahf, nous prémunit contre les dangers des fins des temps.
En récitant ses versets, selon le Hadith du Messager de Dieu, nous trouvons une armure spirituelle.
Qu’y a-t-il dans ces histoires et paraboles qui nous protège du faux Messie et des influences extérieures ?
Le débat s’ouvre sur ces trois signes : les gens de la caverne, la parabole des deux jardins, et les voyages révélateurs.

Première Histoire : Les Gens de la Caverne (Ahl al-Kahf)

Cette histoire semble simple, mais elle résonne avec notre monde.
Dans une cité despotique, les puissants imposent une vision unique de la liberté.
« Ils imposaient une vision de la liberté et des divinités qui peuvent être adorées librement, et que chacun peut choisir librement et démocratiquement une certaine façon d’être, de croire ou de faire. »

Cela évoque notre société actuelle, où la réussite repose sur des choix multiples et indépendants.
Quelqu’un veut alors unifier ces choix pour n’adorer qu’un seul Dieu, créant un groupe séparatiste.
« Il crée un séparatisme de choix pour former une individualité collective, un groupe, afin qu’il puisse former une autre entité, une autre réflexion. »

Ils fuient vers les montagnes, loin de cette « dictature libérale » qui prétend libérer en conditionnant.
Sept jeunes, environ, cherchent un nouveau monde basé sur la réalité lumineuse d’un Messie béni.
« Ils ont voulu fuir cette liberté de donner à Dieu d’autres divinités, cette liberté de croire en d’autres divinités en leur donnant des images. »

Cette fuite est une révolution de la pensée, ancrée dans le Tawhid, une foi renouvelée en un Dieu pourvoyeur et sécurisant.
Est-ce cette histoire, imprégnée dans nos âmes, qui nous protège de Gog et Magog ?
« Pour que si cette histoire est imprégnée au plus profond de nous-mêmes, dans nos âmes, peut-être qu’elle nous prémunira, qu’elle nous protégera. »
Elle forme un bouclier contre les mauvaises ondes d’une société qui transmet un virus déguisé en libération.

Deuxième Élément : La Parabole des Deux Jardins

Après la caverne, Dieu propose une parabole, un secret allégorique qui se révèle progressivement.
Deux personnes : l’une opulente, avec jardins, rivières, fruits, arbres et progéniture.
« Il avait la réussite totale de ce qu’un homme peut souhaiter. »

Il se vante auprès de l’autre : « Dieu l’avait favorisé dans le sens où il avait plus de richesse, plus d’enfants. »
Mais l’ami rappelle la vérité : « Ce n’est pas par ton travail, ce n’est pas par ton intelligence, ce n’est pas par tes efforts que tu as pu obtenir cela. Reviens plutôt à Dieu. »
Tout vient de Dieu, qui donne et reprend ; un vent suffit à tout détruire.

Rentré joyeux dans son jardin, confiant en son labeur, il trouve tout desséché : branches sèches, aridité totale.
Il regrette : « Pourquoi ai-je tant dévié ? Pourquoi suis-je sorti du cercle du divin ? »
Cette parabole suit les gens de la caverne et met en garde contre l’oubli de Dieu face à la possession.

« Nous oublions que c’est Dieu qui nous les a donnés. Et se rappeler de cela, c’est une continuité de louanges. »
Elle enseigne la confiance en Dieu, évitant le désespoir lors des épreuves.
« Une telle pensée, une telle grandeur chez la personne qui comprend, elle est déjà prémunie à l’avance. »
Le Dajjâl séduit par les biens passagères ; cette histoire montre que cette séduction est éphémère.
Est-ce cette parabole la clé de sécurité ?

Troisième Élément : L’Histoire de Moise (Moise) et Al-Khidr (Khidr)

Cette deuxième histoire vraie, après la parabole, met en scène une quête de sagesse.
Moise, homme mature sans fourberie, cherche un maître plus sage.
« Quand on arrive à un niveau de maturité, l’homme mature a exclu de son âme toute déviation, tout mensonge. »

Il prie pour rencontrer Al-Khidr, détenteur d’une science innée (‘ilm al-ladunni), inaccessible à tous.
« Je ne m’arrêterai que lorsque j’atteindrai le confluent des deux mers. »
Cette résolution, inébranlable, est un dévouement total à la sagesse divine.

Le voyage commence avec un pacte : patience, sans questions.
Trois épisodes testent Moise.

Premier Épisode : Le Bateau

Al-Khidr perce un bateau de pauvres pêcheurs.
Moise réagit : « Mais pourquoi perces-tu ce bateau ? Ces pauvres gens, par nécessité, ont besoin de ce matériel ! »
Al-Khidr rappelle : « Ne t’ai-je pas dit que j’avais accepté que tu me suives, mais à condition que tu ne m’interroges pas et que tu sois patient ? »
Moise s’excuse, promettant patience.

Deuxième Épisode : L’Enfant

Dans une contrée, Al-Khidr tue un enfant innocent.
Moise s’indigne : « Mais pourquoi tues-tu un enfant innocent ? Quel est le but de cette science ? »
Al-Khidr répète : « Ne t’ai-je pas dit de ne pas m’interroger ? »
Moise promet une dernière chance à sa patience.
Explication plus tard : l’enfant aurait détourné ses parents pieux de la foi ; Dieu leur donne un remplaçant harmonieux.

Troisième Épisode : Le Mur

Dans un village inhospitalier, Al-Khidr consolide un mur ruiné pour des orphelins.
Moise : « Mais pourquoi leur construis-tu un mur ? Ils nous ont rejetés ! »
Al-Khidr : « C’est la troisième fois. Le moment de nous séparer est venu. »

Explications finales :

  1. Le bateau percé protégeait des pauvres d’un roi despote : « J’ai percé ce bateau pour que le roi despote ne puisse pas le prendre. »
  2. L’enfant tué préservait la foi des parents : « Il aurait rendu ses parents désespérés de la foi. »
  3. Le mur cachait un trésor pour orphelins d’un père saliḥ : « Nous avons décidé de protéger cet héritage. »

Ces actes, par permission divine, sécurisent contre despotisme, corruption future et perte d’héritage.
Est-ce réciter ces paroles, les ancrer en nous, qui nous protège du Dajjâl et de Gog et Magog ?
« C’est la sécurité contre le despotisme des rois. Ce sont les enfants qui pourraient nuire dans le futur. C’est la sécurité d’un héritage. »

Quatrième Élément : L’Histoire de Dhûl-Qarnayn

Dernière histoire de la Sourate : Dhûl-Qarnayn, l’homme des deux temps, fascinant par son intelligence dépassant le consensus humain.
« Elle dépasse l’intelligence artificielle. Elle dépasse toutes les données scientifiques. »
Dieu lui donne les causes et causalités (asbab wa-l-asbab) : apparences et réalités cachées.

Il maîtrise la chose visible et sa raison quantique, la vie et la mort des phénomènes.
Par exemple, le soleil illumine, mais Dhûl-Qarnayn en connaît la fonction profonde, liée à l’âme.
« Il connaît la chose et la réalité de la chose. La chose, la cause, et il connaît la réalité cachée de la cause. »

Ses trois voyages jugent les peuples par leurs priorités.

Premier Voyage : Soleil Couchant

Un soleil se couchant dans une eau brûlante symbolise un temps obscur.
« Un soleil qui se couche dans une eau brûlante. »
Lucidité requise pour naviguer l’ambiguïté, comme la nuit tombante.

Deuxième Voyage : Soleil Levant

Il révèle les défauts d’une communauté ignorante, sans sitra divine.
« Ils ne vivaient que dans les défauts, c’est-à-dire qu’ils ne vivaient que dans l’ignorance. »
Pas de protection de Dieu, exposés au mal.

Troisième Voyage : Soleil au Zénith

Vers un peuple clair, ils implorent Dhûl-Qarnayn contre Gog et Magog, déferlant sur la terre.
« Ils ont commis des désordres sur toute la terre. »
Il accepte : « Que vous m’aidiez, que vous m’assistiez. Nous nous assistons mutuellement. »
Unité mutuelle pour bâtir une barrière.
Est-ce cette récitation, cette unité, qui nous sécurise contre Gog et Magog ?
« Est-ce que c’est dans cette unité avec Dhûl-Qarnayn que ces paroles nous sécuriseront contre Gog et Magog ? »

Conclusion

Ces histoires de la Sourate Al-Kahf — gens de la caverne fuyant le despotisme, parabole des jardins enseignant l’humilité, quête de Moise pour la sagesse innée, et voyages de Dhûl-Qarnayn maîtrisant causes cachées — interrogent notre protection eschatologique.
Ensemble, elles forment un bouclier : repli dans le Tawhid, confiance en Dieu face aux séductions, patience devant l’invisible, et assistance mutuelle contre le chaos.
Réciter ces versets imprègne l’âme, prévenant du Dajjâl et de Gog et Magog.

« L’amour, la foi et le Tawhid sont notre sécurité. La science en est le parachèvement ; la science est la lumière avec laquelle nous marchons. »

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