À propos de la sourate La vache
Numéro
2
Nom arabe
البقرة
Versets
286
Révélation
Médinoise
Articles liés
90
ذَٰلِكَ ٱلْكِتَـٰبُ لَا رَيْبَ ۛ فِيهِ ۛ هُدًى لِّلْمُتَّقِينَ
dhālika l-kitābu lā rayba fīhi hudan lil'muttaqīna
Muhammad Hamidullah
C'est le Livre au sujet duquel il n'y a aucun doute, c'est un guide pour les pieux,
Rachid Maach
Voici le Livre qui n’admet aucun doute et qui est un guide pour ceux qui craignent le Seigneur,
Centre International Nur
Voici le Livre à propos duquel il n’y a nul doute, guide pour les gens pieux,
Analyse mot-à-mot
dhālika
cela
Autres traductions possibles :
l-kitābu
le livre
Autres traductions possibles :
lā
non
Autres traductions possibles :
rayba
doute
Autres traductions possibles :
fīhi
dans
Autres traductions possibles :
hudan
guidance
Autres traductions possibles :
lil'muttaqīna
pour les pieux
Autres traductions possibles :

Ce verset est cité pour rappeler au cœur, au milieu de cette évocation de l'Ascension et des dimensions hors du temps et de l'espace, que le point d'appui de notre voyage intérieur n'est pas la raison seule mais ce « livre » qui ne laisse aucun doute et qui est une direction pour les éveillés ; il intervient juste au moment où l'auteur invite à quitter les seuls mécanismes du raisonnement pour accueillir la foi en ce qui est ghayb, et il est donné comme une balise qui légitime cette confiance dans l'invisible. Il est cité parce que sans cette référence au « livre » qui guide, l'expérience transcendantale du Prophète risquerait d'être ramenée à une curiosité exotique, alors qu'elle devient, par ce verset, une invitation structurante à croire, à entrer dans l'état d'inspiration et à trouver dans la prière le chemin de retour vers l'Origine. Ainsi le verset joue le rôle d'ancrage spirituel et d'autorisation théologique pour regarder l'autre histoire, celle hors du temps.

Ce verset est cité pour poser la fondation vive de tout le propos : au cœur de la section « Le Coran comme Guidance pour les Éveillés » on invoque la Sourate la Génisse, « Alif, Lam, Mim. Voilà le livre sur lequel il n'y a aucun doute, une direction pour les éveillés », pour répondre à la question lancinante — pourquoi tout le monde ne le voit pas — et pour dire que le livre n'est pas un objet neutre mais un al-kitâb mubîn réservé à ceux qui cultivent la Taqwa. Il est appelé ici pour légitimer la lecture des événements comme signes, pour rappeler que la parole devient vie quand on se purifie et aime le Livre, et pour soutenir théologiquement l'idée que seule une communauté éveillée, guidée par la révélation et non par le raisonnement d'Iblis, peut saisir et bâtir le rempart spirituel contre la corruption.

Ce verset est cité pour ancrer, dans le souffle même du texte, l’idée que le livre n’est vraiment « hudan lilmuttaqin » que pour ceux dont le cœur est éveillé; ici, au moment où l’auteur parle du livre vivant, des « mithel » et de la nécessité d’une foi qui pénètre le cœur, « Hudan lilmuttaqin » sert de clé spirituelle: il arrive après la description de la Guidance et avant l’appel à recevoir la lumière, montrant que la lecture extérieure ne suffit pas, que la guidance se révèle aux éveillés qui désirent l’au-delà; cité pour rappeler que les exemples et les paraboles agissent comme des instruments pour ceux qui sont prêts, il joue le rôle d’un seuil théologique et intérieur, invitant le lecteur à se reconnaître parmi les « éveillés », à accueillir la lumière du livre dans le cœur et à répondre à l’appel d’un guide qui devient vivant pour qui se tient en état d’attention spirituelle.

Ce verset est cité pour ouvrir un espace de confiance profonde où le livre devient boussole pour les éveillés, placé dans le développement sur le al-al-ghayb et le Tadabbur ; il surgit précisément dans la section « La Foi en l'Absent » pour nommer le texte qui ne laisse place à aucun doute et qui oriente ceux dont le cœur s'ouvre à l'inspiration plutôt qu'à la simple spéculation. On l'évoque pour opposer deux manières d'être : l'intellect qui construit un ego et l'inspiration qui façonne une âme à l'image du Dieu vivant ; il sert de clé spirituelle, légitimant la recherche intérieure, la confiance dans le livre comme direction et la foi en ce qui est absent mais révélateur. Son rôle est de rassurer le chercheur : la voie donnée n'est pas une idée parmi d'autres, mais la direction des éveillés, celle qui invite à se laisser façonner par le al-al-ghayb et à devenir Khalifa par ilhâm.

Ce verset est cité pour rappeler, dans le chapitre « Comprendre le Coran par l'Éveil », que l'entrée dans le Livre ne se conquiert pas par le seul effort intellectuel mais par une disposition intérieure : il est posé comme l'énoncé premier qui affirme la certitude du Kitâb et le destine aux éveillés, et c'est dans ce contexte que l'auteur le place au seuil de son propos pour inviter à rechercher l'Ummî en soi. Il est appelé pour soutenir l'idée que « goûter le livre, être témoin du livre » exige une transformation de la présence — l'éveil — qui fait disparaître le doute et donne la fermeté évoquée ailleurs; spirituellement il joue le rôle d'une boussole, fondement de l'autorité lumineuse du texte, garantissant que seule la réception inspirée permet de décoder la parole et de s'aligner avec la direction promise aux muttaqim.

Ce verset est cité pour rappeler, avec douceur et autorité, que le Livre s’adresse à ceux qui sont éveillés, et il surgit dans le discours juste au moment où l’orateur lie le jeûne du Ramadan à une montée spirituelle vers le rang des prophètes ; ici, il joue le rôle de pont entre la pratique du jeûne et la réception vivante de la parole, situé dans le passage qui explique que le jeûne n’est pas une abstinence corporelle mais une épreuve pour atteindre la Taqwa, l’éveil du cœur ; il est invoqué afin de montrer pourquoi Dieu honore la communauté en lui donnant la chance de goûter le Livre, pour que ce dernier devienne direction vive et suscite fi'al al-khayrat, et sert théologiquement à légitimer l’idée que le Ramadan, en purifiant l’âme, rend l’âme capable d’entendre le Livre et d’habiter la paix prophétique promise.

Ce verset est cité pour poser, dès l’introduction, le socle qui soutient tout le discours : il est présenté comme ce « livre » sans doute, cette direction offerte aux pieux et aux éveillés, et sert d’appui pour expliquer comment vivre une foi vivante et engagée. Mes frères et mes sœurs, il arrive là comme un phare qui distingue deux lectures possibles du livre — l’une purement juridique et terrestre, l’autre spirituelle et éveillée — et rappelle pourquoi purifier le cœur, rechercher l’inspiration et discerner les signes dans l’actualité ne sont pas des options mais des conditions pour comprendre la direction qui nous est donnée. Son rôle spirituel dans le passage, c’est d’autoriser l’appel à la responsabilité : devenir serviteurs actifs, témoigner, transmettre le projet du messager et lire le monde à la lumière de cette direction, pour que la foi cesse d’être seulement privée et devienne mission vivante.

Ce verset est cité pour ancrer, dès l’abord, l’idée que le Livre est la clé vivante du ghayb : dans le contexte de cet article sur la foi en l’invisible, la mention de la Sourate 2, La Vache, verset 2 vient comme une lumière qui désigne qui sont « ceux qui croient au ghayb » et ce que le Livre offre à ces âmes éveillées; il est invoqué au moment où l’orateur présente la Laylat Al-Qadr, Adam, Salomon et le prophète (ﷺ) pour montrer que toute présence intérieure, toute vision et toute karâma prennent leur source dans la parole révélée; sa fonction spirituelle est de légitimer la lecture du ghayb comme réception et présence — le Livre faisant passer l’invisible à la conscience, guidant la Taqwa et donnant à l’âme la certitude d’être incluse dans ce temps qui dépasse tous les temps.

Ce verset est cité pour ancrer d'emblée la réflexion sur le al-ghayb dans une certitude vivante : dans la Sourate 2, La Vache, verset 2, le Livre est présenté sans doute, guide des éveillés, et c'est exactement à ce point que l'auteur se saisit de la parole pour définir la racine de la foi. Mes frères et mes sœurs, il apparaît au cœur du développement, quand on cherche à comprendre ce qu'est l'invisible qui conditionne la croyance, pour rappeler que notre renouveau quotidien ne repose pas seulement sur des pratiques extérieures mais sur l'adhésion confiante à ce Livre qui dévoile des nouvelles du passé, du présent et du futur. Ce verset sert à légitimer la révélation comme source des clés du al-ghayb, à ordonner la soumission à la volonté divine et à offrir la boussole spirituelle qui transforme prières, aumône et pèlerinage en fruits d'une foi véritable.

Ce verset est cité pour rappeler, au cœur de la pièce où l'on pose la question de la vraie religion, la certitude sur laquelle doit s'appuyer notre appel à l'unité : dans le passage « La Base de l'Unité : Le dîn de Dieu », la référence à Sourate 2, La Vache, verset 2 — « Voici le livre sur lequel il n'y a aucun doute » — intervient après la lecture du récit de Joseph pour recentrer l'auditoire sur la révélation comme unique critère sûr face aux traditions humaines; il est invoqué afin d'affirmer que le dîn al-qayyim ne se construit pas sur les récits de main d'homme mais sur une parole claire et inébranlable, et son rôle spirituel est d'offrir l'assise qui légitime l'appel à dépasser les divisions: unir Sunnites et Chiites, croyants de tous bords, non autour de rites concurrents mais autour d'une source certaine qui guide l'action commune contre l'injustice et pour la lumière.

Ce verset est cité pour ancrer d’emblée la parole du livre comme une lumière sans doute, dans ce passage il surgit au cœur de « La Foi en l'Invisible » comme un phare : on évoque Alif, Lam, Mim, puis « Valé kal keteb… la rayba fih… Hudan lil mutaqin » pour poser que le Coran n’est pas un simple texte à prouver mais une direction pour ceux qui croient au ghayb. Dans ce contexte précis, il sert à distinguer deux attitudes face aux Âyat — ceux qui demandent des signes pour dissiper leurs doutes et ceux qui, déjà éveillés, lisent ces signes comme des indications de chemin — et vient soutenir l’idée que la foi en l’invisible précède et ordonne la prière, le partage et la stabilité intérieure. Spirituellement, le verset joue le rôle d’un repère tranquille : il replace le croyant sur la voie du Tawhid, lui rappelant que la certitude intérieure transforme les signes en guidances et non en preuves faites pour l’angoisse.

Ce verset est cité pour rappeler avec douceur que le Livre, posé après le nom d’Allâhu, est présenté comme une certitude vivante et comme une direction pour les éveillés, et il surgit ici au cœur du discours pour soutenir l’idée que la compréhension n’est pas l’apanage des érudits mais de ceux dont le cœur est éveillé ; dans le texte il arrive juste après l’évocation du caractère accessible du Tadabbur, pour confirmer que le message s’adresse à tous ceux qui se laissent illuminer, non aux seuls détenteurs d’un savoir académique, et il joue le rôle d’un fondement spirituel : légitimer la méditation collective, valoriser l’éveil intérieur face aux pièges de la raison pure, et rassurer la communauté que la vraie science vient d’une direction certaine, exemptée du doute, qui guide l’âme vers la connaissance infuse et la proximité d’Allâhu.

Ce verset est cité pour ancrer, au cœur de la réflexion sur la science innée, l’idée que le Livre est une direction vivante pour les éveillés : ici, dans le passage où l’orateur cherche à ramener chacun vers ‘‘ilm ladunnî et l’éveil du cœur, il rappelle « Zalikal Kitâb la rayba fihi, hudan lil muttaqîn » au moment même où il parle de remise à zéro, de repentir quotidien et de la quête collective du troisième peuple. Il est cité parce que le texte veut montrer que le guide n’est pas un savoir extérieur seulement intelligible, mais une guidance adressée à ceux qui se mettent en état de conscience et d’obéissance, prêts à suivre les dépositaires de la science; son rôle spirituel est de légitimer la démarche intérieure — repentance, soumission, affiliation aux Ahl al-Bayt et aux « al-wadâ'i' » — comme voie pour comprendre le Livre et retrouver la science innée.

Ce verset est cité pour rappeler, avec douceur et autorité, que le Livre dont on parle n’est pas un manuel froid mais une direction offerte aux mutaqîn, aux éveillés du cœur : il surgit dans le passage où l’on évoque la nécessité de revenir à Dieu, de purifier l’âme et de vivre la foi comme une expérience intérieure plus qu’une construction intellectuelle. Il est mis en avant ici pour défendre l’idée centrale du texte — que seule une démarche sincère, une purification et une quête de ma‘rifa ouvrent l’accès aux sens profonds — et pour distinguer ceux qui étudient la lettre de ceux qui vivent le cœur; il légitime la posture spirituelle du conférencier, qui insiste sur le Tawhid vécu, la patience et la transformation intérieure. Dans l’argumentation, ce verset devient la boussole spirituelle qui autorise à privilégier l’éveil intérieur et à inviter chacun à devenir un mutaqîn, réceptacle du message.

Ce verset est cité pour ancrer, au cœur de la méditation sur l'esprit et la mission humaine, la certitude et la destination de ceux qui sont éveillés : après avoir évoqué la nuit hors du temps, l'esprit qui redonne la vie et le devoir de témoigner, le conférencier invoque « Alif, Lam, Mim. Thalika al-Kitâb la rayba fihi. hudâ lil-muttaqîn. » dans le chapitre où il définit les caractéristiques des muttqîn ; il le place comme la clé qui légitime l’appel à croire en l’al-al-ghayb, à entretenir la prière intime et à partager le rizq reçu, et rappelle à mes frères et mes sœurs que ce livre sans doute est une direction précise pour ceux qui ont le cœur éveillé ; ainsi le verset sert de fondement spirituel et théologique au discours, donnant autorité et orientation à l’invitation au Tawba, au retour à la fitra et à la transmission de la lumière reçue.
Articles citant ce verset (18)

« Ce verset est cité pour… » Sourate 2, La Vache, verset 2 : il apparaît au creux du chapitre « Le Livre de Dieu : Protection et Révélation », posé comme le socle qui affirme que le Livre est sans doute et qu’il guide les éveillés, et c’est précisément là qu’il entre en jeu pour soutenir toute la méditation qui suit sur descente, protection et purification nécessaire avant de toucher le texte; on le convoque pour fonder la distinction entre le Coran, squelette révélé, et le Kitâb, parole qui se révèle dans les événements, et pour ramener la lecture vers le cœur plutôt que vers une simple rationalité du monde; spirituellement, il confère au discours son autorité intime, invite à l’élévation, à l’inspiration et à l’état d’éveil où la révélation devient vivante et guide ceux qui cherchent avec aspiration.

Ce verset est cité pour poser au cœur de notre réflexion la certitude et la direction que le livre offre : l'orateur, après avoir juré par le soleil et préparé l'âme à l'écoute, introduit « Alif, la, mim, dhâlika l-kitâb lâ ghayb fîhi, hudâ lil-muttaqîn » comme un point d'appui, disant aux frères et sœurs que le Livre n'est pas une parole flottante mais une guidance pour les éveillés; il est nommé ici pour légitimer l'idée que l'ilhâm que reçoit la nafs n'est pas une impulsion indistincte mais une orientation claire donnée à ceux qui ont purifié leur cœur, et pour montrer que la réception de l'inspiration demande zakkâhâ, un dépouillement des suggestions d'Iblis et de l'ego; spirituellement, ce verset sert d'ancre : il autorise la confiance dans l'inspiration divine comme méthode vivante pour accomplir le projet du Messager, à condition que l'âme soit en état d'accueil.

Ce verset est cité pour rappeler, avec douceur et autorité, que la nuit que nous vivons s’enracine dans un Livre qui est direction pour les éveillés : Sourate 2, La Vache, verset 2. Il surgit au cœur du passage où l’orateur évoque Laylatoul Qadr, l’Esprit, la famille du Prophète et l’appel au Tawba, afin de nommer qui sont les vrais destinataires de cette nuit — ceux qui croient en l’al-ghayb, établissent la prière et partagent le rizq — et de pousser l’assemblée à descendre du rivage du doute vers la rive ferme de la confiance. Citant ce verset, le texte fonde spirituellement l’invitation au repentir : il offre une boussole sacrée, légitime la communion avec les guides et l’Imam invisible, et transforme la ferveur collective en chemin intérieur, faisant du Livre la lampe qui éclaire la porte grande ouverte de la miséricorde.
